La gare et la locomotive qui devait être électrique (c'est à dire sans fumée) : raté !

Sur le chemin du retour...

Comme lui, nous apprenons à attendre

Cette vallée a été classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO pour les 70 moulins de canne à sucre

C'est donc en toute confiance pour l'intérêt du site que nous rejoignons la gare des trains, puisque c'est en train qu'on y accède

Premier arrêt : cette tour qui peut-être devait servir à surveiller les esclaves travaillant dans les plantations de canne à sucre

Il est possible qu'il y ait plus de vendeurs de tissu que de voyageurs

L'objectif de la balade : cette raffinerie industrielle en ruines

Le train avec ses wagons en bois serpente dans la campagne ... Balade bien agréable

Le seul intérêt de cette balade réside dans la traversée de la campagne cubaine, le reste n'est qu'un attrape-couillon pour touristes dont l'UNESCO est la complice.

car le prix bien élevé pour Cuba ne se justifie absolument pas (et en plus, il fallait payer l'accès à la tour et l'entrée dans l'usine, ce que, évidemment, nous n'avons pas fait)

Ils préparent même le cochon grillé

Sur le retour, un 3° arrêt là où le cochon grillait... Totalement inutile : très peu de personnes sont descendues, les 60 autres attendaient dans le train dans la chaleur. D'autant plus qu'il n'y avait plus de cochon à manger

 

Le petit village d'Iznaga où se trouve la tour