BUENOS AIRES

9 janvier : La Houneyre - Buenos Aires

heure raisonnable pour un départ : 8 h et quart... Dax, la gare, Pau, changement et Toulouse.

avion pour Londres (1 h 50), 3 h d'attente, puis envol vers Buenos Aires... 11700 km, 14 heures de vol

10 janvier : arrivée à Buenos Aires

autour de 9 heures locales (+ 4 dans les Landes) 30° !!! l'été !!! les filles en tenue légère, la soif... navette en bus pour le centre ville puis métro (le subte) jusqu'à l'hôtel ; nous y apprenons que notre chambre n'a pas été libérée, nous sommes donc dans un dortoir (comme les jeunes) mais seuls....

En subte pour la gare des autobus pour réserver le billet pour lundi à Puerto Madryn ; retour à pied par calle Florida, plaza de Mayo et calle Piedras jusqu'à notre hôtel. Nous retrouvons avec plaisir des endroits déjà vus et appréciés. mais ce coup-ci en été !!!!

11 janvier : musée de l'ESMA et le Puerto Madero

C'est encore l'été !!! Un ciel bleu limpide, une chaleur suffocante, et les filles toujours en tenue légère.

Le musée de la Mémoire nous tenait à coeur... C'est là que nos camarades gauchistes, anarchistes, syndicalistes, communistes (et plein d'autres) ont été torturés, et ont disparu souvent jetés d'hélicoptère dans la mer lors de la dictature militaire de 1973 à 1983. Ils appellent cela, ici, le terrorisme d'état.... Alors notre première visite a été pour eux ; c'eût pu être nous ...

Dans l'après-midi, retour à Puerto Madero, le vieux port aménagé, un peu dans l'idée de Bordeaux... Déjà vu il y a 6 ans, mais toujours aussi beau.

Et un premier demi place Dorrego (ici c'est plutôt les bouteilles d'1 litre de Quilmes)

 

12 janvier : le quartier de la Recoleta et San Telmo

Nous faisons dans la nouveauté : nous partons en bus de ville découvrir le quartier de la Recoleta que nous n'avions jamais visité : quartier bourgeois, quartier des affaires avec la Plaza de Francia et le musée des Bellas Artes où nous avons retrouvé des toiles de Manet, Degas, Courbet... presque le musée d'Orsay. Egalement le cimetière, équivalent de notre Père Lachaise

En fin d'après-midi, l'incontournable calle Defensa et la place Dorrego pour un petit demi (en promotion !!! Si, si !!!)

 

13 janvier : calle Defensa

Il nous fallait un dimanche dans notre séjour, d'abord pour visiter le palais présidentiel (la casa rosada), ensuite pour aller (enfin ! ) manger au Desnivel (et fêter cette fameuse retraite) et aussi pour assister, calle Defensa, à la feria et surtout aux spectacles donnés par les fous de tango. Nous avons fait tout cela sous une chaleur accablante !

Nous repartons en fin d'après-midi calle Defensa, mais en six ans, l'ambiance a évolué : on ne retrouve plus les danseurs de tango improvisés ou pas, et les vendeurs sont devenus bien zonards... Nous repartons finalement assez déçus.

 

 

 

 

 

 

14 janvier : Puerto Madero, encore...

Sans hôtel, puisque nous prenons le bus à 19 heures, nous avons prévu une série de visites autour de la Place de Mai : le cabildo (mais fermé le lundi apprenons-nous...), le musée de la casa rosada (mais fermé le lundi apprenons-nous...), la manzana de las luces mais payant maintenant (on ne va quand même pas donner d'argent aux jésuites) Finalement, nous allons de l'autre côté de Puerto Madero voir une réserve écologique.... fermée le lundi .... Il y a des jours comme ça....Nous le saurons quand nous reviendrons fin avril à Buenos Aires.

Finalement nous restons de l'autre côté du Puerto Madero : une longue balade à pied sous le lourd soleil ; nous retournons à l'hôtel prendre une douche et direction la gare routière en bus

 

Ouahhh!!! le sac !!!!
la place de mai, le palais présidentiel
l'équivalent du portail d'Auschwitz
Puerto Madero : l'art d'associer le très ancien et le très moderne
Place Dorrego : une certaine idée du bonheur
La fleur vivante qui s'ouvre et se ferme avec le soleil
le mausolée de Evita Peron (Duarte)
retour

vue imprenable sur la Place de Mai, depuis le balcon du palais présidentiel, à la place d' Evita...

un rêve s'accomplit : fêter le départ à la retraite au Des nivel, devant un "bife de lomo" et un malbec argentin...
le seul fada de tango que nous ayons trouvé,(il dansait ainsi tout seul)
ce sont les remplaçants des danseurs de tango
Le puerto Madero, vu du bout, à côté de la gare

Notre hôtel, dans le quartier San Telmo, à la demande de son patron, sympa