SAN AGUSTIN
24 février : transfert Popayan - San Agustin
Cinq heures de trajet en petit bus pour rejoindre San Agustin depuis Popayan, et au moins la moitié en piste : nous avons traversé des montagnes et vu des panoramas superbes.
On est dans la campagne
La place du village et l'église
Notre chambre, mais nous changeons demain
Le contrôle des papiers
De nombreux postes militaires tout le long, presque à chaque village traversé, des contrôles d'identité (pour les Colombiens uniquement) une fouille minutieuse des sacs (pour tout le monde) : les Farc sont tout proches et le narcotrafic aussi
Et au bout, un petit village qui nous change de Bogota ou Popayan et une auberge tenue par une Française plongée dans un écrin de verdure et de calme. On va sûrement en profiter
Juste quelques photos du jardin et demain, visite du parc archéologique
On a profité, un peu malgré nous, de cet hébergement aujourd'hui : le genou m'a fait des misères, alors un peu de repos ne lui a pas fait de mal
10 heures : tout à coup, la pluie "suave" s'arrête, et il ne pleuvra plus de la journée !!! Quelle chance ! Nous pouvons (enfin) rejoindre le parc archéologique à pied (une dizaine de kilomètres en tout),
Midi : arrêt dans un restaurant au bord de la route : le type même du repas presque immangeable (sauf la soupe)
Le soir : repas à l'auberge mitonné par mamita : avocat-thon, macédoine de légumes, yaourt
C'est bouché, il pleut là-bas
Nous passons au pied d'un volcan, mais nous ne le verrons pas : trop de nuages
25 février : repos
Des haies de caféiers
Il a plu toute la nuit, et pas qu'un peu ; au réveil, pluie et même "suave", c'est toujours de la pluie... Va-t-on vers une journée de foutue ? se demande-t-on
Notre nouvelle chambre
Il a plu
sur le chemin
Le trajet
San Agustin
Une rivière, parfaitement domptée et parfaitement décorée. L'UNESCO a protégé ce site et construit ce pont en bambous
Ce site est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, ceci explique les aménagements et l'entretien particulièrement soignés
Au premier plan, les tombes
Pendant trois heures, nous avançons, mouillés comme des poissons. Puis tout à coup, vers midi et demie, la pluie s'arrête et grand soleil !!!
Ce site de San Agustin était habité ; les tombes datent du VII° au IX° siècle, les statues 500 ans plus tard (en gros, notre Moyen-Age) . Mais tout cela était inhabité au moment de l'arrivée des Espagnols
le site
Une grenouille mi-animal mi-humaine (voir la main droite)
Une dure montée nous amène à ce site qui domine bien la vallée
Impeccable !!
26 février : le parc archéologique
en attendant le colectivo à San Agustin
Lever tôt, 7 heures car nous avons une longue balade à faire, mais :il pleut. 8 heures : il pleut 9 heures : il pleut ; 9 heures et demie, armés de nos kways, nous partons sous la pluie.
le musée du parc
Il ferait presque pitié le papi
Parfois, les corps étaient bien cachés
Juste au moment où nous arrivons au 2° site, La Chaquira, la pluie s'arrête, le soleil apparaît provoquant la formation de ces nuages sur le canyon de la Magdalena
Le soir, tapas-bière à l'auberge
On aperçoit un canyon
suivie d'un cafecito colombien servi dans les règles de l'art
A midi (il est plutôt 15 heures donc 21 heures en France), pendant que certains se régalent à "A Nouste", d'autres, au même moment, s'offrent une petite parrillada de porc
Le premier site, el Tablon sous la pluie
Il pleut, il pleut et nous avançons
En tout, 8 heures de marche et ce n'est jamais plat ... Une quinzaine de kilomètres, et une de ces fatigues ....
la balade dans la campagne
Il pleut sur San Agustin
La Chaquira : des rochers sculptés
pendant le repas (sandwichs) Nous nous rattraperons le soir à l'auberge avec un excellent poisson-purée-légumes
27 février : quatre autres sites archéologiques
Le 3° site, la pelota
Opération séchage tee-shirts, kway....
et le 4 °, el Purutal, avec ses statues peintes. Petit accrochage à l'entrée : il fallait payer l'entrée ....
Il n'y aura probablement pas de site pendant 3 ou 4 jours : nous serons dans un endroit paumé